Je suis convaincu que le vélo est un vrai moyen de transport d’avenir. Il est grand temps de mener une véritable politique de promotion de l’usage du vélo et d’en faire un mode de déplacement au cœur de la mobilité du quotidien.  A titre symbolique, j’ai ainsi fait le choix avec mon équipe de privilégier les déplacements à vélo dans ma circonscription (et parce que cela me permet de garder une activité physique régulière ).

Aux côtés des élus locaux, je veux m’investir en tant que parlementaire pour faire du vélo un mode de transport à part entière dans toutes ses composantes – utilitaire, loisirs, tourisme, sport – en lui accordant un statut particulier dans les textes et projets législatifs. Le vélo ne présente que des bénéfices : il est simple d’utilisation, peu onéreux, rapide, pratique, en phase avec son époque, s’adressant à tous sans distinction sociale et géographique et bon pour la santé. Le développement du vélo croise de nombreux enjeux nationaux et locaux : l’accès à la mobilité pour tous, la lutte contre l’enclavement, la solidarité, la santé, l’accès à l’emploi, l’optimisation des infrastructures et la décongestion, le bien être.

Je co-préside avec d’autres parlementaires de sensibilités politiques variées le Club des élus nationaux pour le vélo créé en 2012, à l’initiative du Club des villes et territoires cyclables.

A ce titre, je m’investirai pour défendre un grand plan vélo ambitieux dans le cadre de la future loi d’orientation des mobilités, pour favoriser la mise en œuvre du « savoir rouler » dans les écoles et les collèges, pour promouvoir l’indemnité kilométrique vélo pour les salariés et généralement toutes les mesures pouvant inciter la pratique du vélo.