Le 8 mai 1945, il y a 74 ans, la Seconde guerre mondiale prenait fin en Europe avec la capitulation de l’Allemagne nazie. Après plusieurs années d’une guerre effroyable marquée par la mort de plus de 50 millions de personnes à travers le monde, dont 6 millions de personnes dans les camps de concentration tuées parce que juives, homosexuelles, tziganes, opposantes politiques, handicapées, notre continent était entière à reconstruire. Ces heures sombres et déshumanisées, nous ne devons jamais les oublier. Jamais !

Nous ne devons pas non plus oublier toutes celles et tous ceux qui se sont levés et ont dit non à la tyrannie et la barbarie, bien souvent au prix de leur vie, qu’ils soient soldats ou résistants. Ils ont combattus le fascisme, le nazisme et cette Europe des haines. Nous leur devons un hommage éternel.

La journée du 9 mai, jour de la fête de l’Europe, nous rappelle aussi l’importance de la construction de la paix et de la défense des droits humains en Europe.

L’importance de la construction de notre Union européenne et de la défense de nos valeurs démocratiques également. Aujourd’hui, nous devons poursuivre ce fabuleux projet qui nous rassemble dans nos différences et qui nous permet d’aller de l’avant. Nous devons le faire avec courage, fraternité et détermination pour que plus jamais les ténèbres ne s’emparent de nos peuples.

Pour ne jamais oublier, pour se souvenir des victimes et des justes, pour défendre la liberté et la paix, j’étais au matin du 8 mai au château de Vincennes et à Saint-Mandé pour participer aux commémorations. Merci à Christian Broches, Christophe Mathieu et Florian Lacoste qui m’ont représenté à Fontenay-sous-Bois. Merci à Florence Gall qui m’a représenté lors de la cérémonie à Vincennes.

Saint-Mandé

Fontenay-sous-Bois

Vincennes

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